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dimanche 6 octobre 2013

Lucrèce Borgia - avec not' Jonathan Genet

texte Victor Hugo
mise en scène Lucie Berelowitsch




avec Dan Artus, Guillaume Bachelé, Antoine Ferron, Jonathan Genet, Julien Gosselin, Marina Hands, Thibault Lacroix, Nino Rocher, Boris Sirdey, Elie Triffault 


assistanat à la mise en scène et conseil dramaturgique Kevin Keiss • musique Sylvain Jacques • scénographie Kristelle Paré • conseil chorégraphique Nasser Martin Gousset • lumières Sébastien Michaud • costumes Caroline Tavernier • assistant aux costumes Pierre-Yves Loup Forest

IL RESTE ENCORE DES REPRÉSENTATIONS : 

8 et 9 février 2013 au Théâtre Jean Vilar (Suresnes)
12 au 16 février 2013 au Théâtre des 13 vents (CDN de Montpellier)
6 et 7 mai 2013 au Théâtre de l’Archipel (SN de Perpignan)
15 au 22 mai 2013 au Théâtre du Nord (CDN de Lille)
24 au 28 septembre 2013 au CDR de Tours
3 au 19 octobre 2013 au Théâtre de l’Athénée (Paris)
5 et 6 novembre 2013 au Théâtre des Deux Rives (Rouen, CDR de Haute-Normandie)
5 décembre 2013 au Préau (CDR de Vire)
11 et 12 décembre 2013 à la Comédie de Caen (CDN de Normandie)

4 au 9 février 2014 au Théâtre National de Nice (CDN Nice Côte d’Azur)

“Actions horribles”, “choses ténébreuses faites par des hommes ténébreux”, mystères, conjurations, et poisons à tous les repas… De Venise à Ferrare, les cours bruissent de secrets et, à l’ombre de noirs complots, éclate un sang vermeil. Bien sûr, l’action se déroule dans l’Italie du xvie siècle et il serait tentant de ne voir ici qu’une fantaisie historique ou un exercice de pittoresque. Mais, à bien y réfléchir, sommes-nous aujourd’hui si loin des Borgia et de leur temps ? L’ambition, la traîtrise, l’appétit de vengeance et le goût du pouvoir auraient-ils tellement changé ? Encore transi du destin du Roi s’amuse – la pièce n’aura tenu l’affiche qu’un seul soir –, Victor Hugo écrit en quatorze jours cette flamboyante Lucrèce, qui, sans refuser ni les outrances du grand guignol ni les sommets du mélodrame, demeure la tragédie d’un impossible aveu. Hugo – il n’a alors que 31 ans – se plaît, joie des paradoxes, à y composer le portrait d’une criminelle absolue qui est aussi l’image du plus pur dévouement. “Si Lucrèce est monstrueuse, peut-être est-ce avant tout un effet de la monstruosité de ces hommes autour d’elle, de ses frères et de son père le pape. Lorsqu’elle aspire à une rédemption possible, elle est rattrapée par son nom, son histoire, par ce qu’elle représente dans la société”, observe Lucie Berelowitsch. C’est à Marina Hands que la metteure en scène, formée au Gitis de Moscou, a choisi de confier ce rôle de toutes les démesures, jouet des fatalités autant que femme fatale.


 



- Le Nouvel Observateur
"Vous verrez une femme fougueuse grandie sur le lit des crimes, mais qui a conservé une lumière. Marina Hands passe avec un instinct sidérant du cri de rage à la tendresse furtive. Elle ne dit pas du Victor Hugo. Il coule en elle, comme le sang." Odile Quirot

- La Terrasse
"Lucie Berelowitsch coordonne les talents des artistes qu'elle a réunis autour de ce drame de l'amour incestueux et de la culpabilité fatale pour créer une Lucrèce Borgia à la fois baroque et moderne. [...] Lucie Berelowitsch aborde le foisonnement du drame romantique." C. Robert

- Scène Web
Marina Hands est très à l’aise dans ce rôle complexe et contrasté. Lucrèce est tiraillée entre sa soif sanguinaire et son envie de s’amender de ses comportements. Lucie Berelowitsch a conçu un spectacle décapant, presque rock n’roll, avec une présence importante de la musique. Stéphane CAPRON

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